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Le protectionniste français ne fait pas avancer les chose!!!!! une réunion à liège c'est tenue le 28 septembre 2012 entre trois syndicats BE FR NL et qu'en résulte t il?

Un bilant bien en retard et erroné sur les effets de la libéralisation du marcher européen!! Chaque bateau quelle que soit sa taille ou son tonnage est une entreprise et chaque batelier un chef d'entreprise. Mon interrogation est plus centré sur ce fait. Un changement radical c'est alors effectué en 2000 par la libéralisation totale de l’affrètement fluvial dans l’ensemble des États membres européens. Que c'est il passé à ce moment en France et Belgique et au Pays Bas? Rien. Si une chasse au sorcières!!!! une volonté jusque la innocente de se protéger du changement, une peur de l'inconnu. Et des organisation prônant le retour au système de la bourse rendu osselet. Le batelier à de quoi en perdre la barre!!!! L'artisan batelier est devenu alors malgré lui un chef d'entreprise. De transporteur de la grande communauté des bateliers, il est devenu chef d'entreprise à la tête de son bateau à négocier seul ses frets. Qui l'a soutenu dans sa nouvelle tache? Aujourd'hui que signifie être batelier? Quels sont les taches et devoir d'un batelier? Comment exercer son métier? Comment devenir batelier en 2012? La profession a elle aussi changé, évolué. C'est sur l'accompagnement , les formations, les partenaires qu'il faut aujourd'hui se concentrer. C'est ensemble qu'il faut réinventer, imaginer et construire la profession de batelier d'aujourd'hui et de demain. Comme nous construisons notre avenir jour après jour avec les contraintes d'un monde en mouvement, qui nous impressionne qu'on trouve trop souvent injuste et mal fait.

Aujourd'hui le transport fluvial est de grande actualité. Les contraintes écologique et développement durable font pression et offre un nouveau essor et avenir. Mais il faut que ceux ci soit dans le respect d'un développement social et économique respectueux.

Il ne faut pas non plus se tromper de sorcières!!!!

il n'y à pas de politique commune au état membre sur les accès au investissements de capital. Mais les français connaitrons aussi le « plaisir » des grands gabarits, non? La force du fluvial est avant tout dans sa diversité et son alter-modalité.

De plus le risque zéro n'est point de ce monde, accuser ses voisins de tous les mots est puéril et mal fondé. Ce que vie le transporteur fluvial comme soucis financier résulte de la politique de l'autruche de ces dernières décennies et d'un manque de solidarité.

Des propositions pleines de sagesse existent, émanant de bateliers de part et d'autre des frontières.

Qui d'autre que vous batelier connait au mieux votre profession, vos besoins, vos soucis?

Le fluvial passionne, fascine, fait rêver les gents d'à terre... c'est là aussi un avantage de la profession pour toucher et sensibiliser opinion publique ....